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Clôturer le débat sur les vaccins

vaccin covid

Le débat sur les vaccins fait toujours rage un an après la première vague du covid-19 en mars 2020.

A la source de ce débat, il y a le conflit entre les lobbys pharmaceutiques adeptes de la religion du « benéfice-risque » et les médecins intègres parfois lanceurs d’alertes, équivalents médicaux d’Edward Snowden. Moi-même technologue en imagerie médicale (infirmier radiologue) Belgo-Turc, je me fais avec mon humble bagage un petit lanceur d’alerte dans la vague des réinformateurs censurés.

Dans cet article nous allons donner la voix à des docteurs, professeurs aguerris mais néanmoins censurés pour être allés à contre courant du discours mainstream de ces grandes entreprises pharmaceutiques.

Commençons par la généticienne émérite de l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) Alexandra Henrion Caude. Selon elle, le vaccin à ARNm se rapprocherait d’une « thérapie génique » mais comme ce type de vaccin est normalement adressé aux patients malades et qu’il est administré à des patients sains, il faudrait parler plutôt ici de « vaccin génique expérimental »[1]

Outre cela, elle affirme outre cela que ce vaccin s’inscrit dans une logique d’« expérimentation la plus totale » et qu’on a aucune connaissance à court, moyen et long terme.

Elle avance également que ce type de vaccin provoque l’apparition de nouveaux variants[2] comme cela a été le cas en Grande Bretagne et en Afrique du Sud.

Injections de plusieurs doses

La doctoresse Alexandra Henrion Caude ainsi que le docteur Christian Perronne nous mettent ensemble en garde contre la possibilité du vaccin à ARNm de bouleverser notre matériel génétique dû au fait que nous sommes potentiellement porteurs de rétrovirus tels que le HIV et qu’ils possèdent une enzyme appelée la transcriptase inverse capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN[3].

L’interaction entre ces vaccins et un potentiel rétrovirus silencieux pourrait donc provoquer des dégâts irréversibles voire transmissibles de génération en génération.[4]

Étonnement ces vaccins n’ont pas été testés sur patients atteints de HIV.

Selon le Docteur Dolores Cahill, professeure en immunologie et en biologie à l’Université de Dublin et ayant travaillé pour l’Union Européenne, le vaccin ne devrait pas être injecté plusieurs fois de suite, au bout déjà de la deuxième dose, nous risquerions déjà d’augmenter l’apparition de maladies auto-immunes chroniques.[5]

Le point commun entre tout ces médecins est qu’ils sont étiquetés de « conspirationnistes » « complotiste » ou au mieux « rassuristes ».

Toutefois, leurs arguments sont largement tangibles et doivent être pris en compte par l’ensemble de la communauté scientifique.

Le vaccin Astra-Zeneca a raté son examen « bénéfice-risque » en mars suite au décès par hémorragie cérébrale d’une soignante Norvégienne de moins de 50 et est actuellement retiré du marché[6].

Espérons ne pas devoir attendre des résultats tout aussi catastrophiques pour les autres vaccins que sont Pfizer-BioNtech, Johnson et Johnson et Moderna.

Les polémiques

Si l’on me demande si je préfère me tourner vers le vaccin Russe Sputnik ou le vaccin Chinois Sinopharm qui sont des vaccins contre la grippe améliorés, je répondrai que je préfère me soigner en prophylaxie (médecine préventive) avec de la vitamine C, vitamine D et du Zinc et en mettant mon masque dans les lieux fermés. Néanmoins, si leur innocuité est vérifiée, je ne serais pas contre une vaccination à large échelle préférentielle sur les personnes âgées et à risque.

Le débat sur le traitement en phase précoce avec l’Ivermectine, l’Azithromycine et la Chloroquine devrait être également relancé.

Terminons cet article avec 2 débats de l’intellectuel dissident Français Étienne Chouard au sujet de l’actuelle polémique sanitaire.

Özler ATALAY YÜKSELOĞLU


Özler ATALAY YÜKSELOĞLU

« Les opinions exprimées dans ce texte sont propres à son auteur et n’engagent pas Medyaturk Info »

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