Mardi, Joe Biden a justifié l’emploi du terme « génocide » pour qualifier l’action de Vladimir Poutine en Ukraine.
« Il est de plus en plus clair que Poutine essaie simplement d’effacer l’idée même de pouvoir être un Ukrainien »
Le président français a refusé de suivre son homologue américain n’en déplaise à Volodymyr Zelensky qui souhaitait que tout l’Occident s’aligne.
Emmanuel Macron explique que « les mots ont un sens, et il faut être très prudent ».
« Le mot génocide a un sens. Il doit être qualifié par des juristes, pas par des politiques »
Pourtant, le 6 février 2019, à la suite de sa visite du Conseil national des Conseils de coordination des organisations Arméniennes de France (CCAF), Emmanuel Macron avait décrété, le 24 avril comme « une journée du génocide arménien en France » sans cette fois-ci demandé l’avis des « juristes » et sans être « prudent » sur les mots. En 2019 donc la décision de Macron était une promesse de campagne « politique ».
Évidemment la Turquie n’est pas la puissance militaire russe.