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La victoire de L’AKP

Ce nouveau scrutin à mobilisé tout le pays, le taux de participation est historiquement élevé plus de 86 % des électeurs se sont déplacés en Turquie le 01 Novembre 2015. Le parti au pouvoir obtient le taux qu’il avait obtenu en 2011, 49,8%, selon les résultats provisoires. L’AKP sera représenté à la Grande assemblée nationale de Turquie par 316 députés. Le CHP a remporté 25,41% des voix et 134 députés, le MHP 11,94% des voix et 41 députés, le HDP 10,69% des voix et 59 députés.

Le parti du premier ministre Ahmet Davutoglu, reprend de l’assurance, c’est bien la politique légitime solide et juste du président M. Recep Tayyip Erdogan élu démocratiquement et directement par le peuple, et de son successeur M. Ahmet Davutoglu le premier ministre, qui a été plébiscité hier soir. « La Turquie est fière de toi » scandé la foule célébrant le résultat avec les feux d’artifice. Une campagne de lynchage avait été lancé par la presse occidentale appuyée par les médias d’opposition turc à l’instar du journal Zaman, proche de la secte « Gülen » n’ont pas hésité à mener une propagande mensongère sur Erdogan allant jusqu’à le qualifier de « sultan » de « dictateur ».

Même la presse française s’est mise dans la foulée, jamais l’actualité française n’avait été aussi spectaculaire dans les sondages fictifs, de la calomnie, de la diffamation, rien n’a été épargné à Erdogan. Jamais le micro n’avait subi un ton condescendant de la part des présentateurs du JT. Les chaînes d’information faisant concurrence entre eux pour délaisser l’art de la presse et ont notamment perdu toute crédibilité aux yeux des téléspectateurs français. Les journalistes ne se privent pas d’user et d’abuser d’approximations et de mensonges dans leurs petits reportages. Une vision d’objectivité décalée de la réalité, de la politique, démocratique, économique, et sociale de la nouvelle Turquie.

En 13 ans, l’AKP marque des progrès économiques et financière. Depuis, la Turquie a enregistré des taux de croissance annuel en augmentation considérable, faisant du pays la 15e puissance économique du monde et la 4e d’Europe en mai 2013 l’AKP a terminé de payer sa dette de 56,5 milliards de dollars et à réviser ses relations avec le FMI. L’inflation qui était de 18,4 % en 2003, lorsque Erdogan était arrivé au pouvoir a baissé sous la barre de 10 % , le taux de chômage a connu un rythme similaire de 10,3 % en 2003 il a baissé à 9,7 % en fin de 2013 puis à 8,8 % en mai 2014. La presse, les journaux, les médias turcs sont libres jusqu’à insulter, dénigrer, diffamer le président de la république turque Recep Tayyip Erdogan. Et certains disent que c’est un « dictateur » ? À méditer…