Alors que le gouvernement et les médias français s’en prennent sans raison à la communauté turque de France, des partisans du PKK ont attaqué un restaurant Turc à Lyon.
En effet, les membres pro-PKK ont ont brisé les vitres du restaurant Çiğ Köftem à Lyon en inscrivant le slogan de l’organisation terroriste PKK sur la vitrine du commerce franco-turc… D’ailleurs, ce restaurant avait déjà été attaqué auparavant par les mêmes soutiens à l’organisation terroriste.
Tandis que la presse française avait largement relayée une supposée attaque de l’espace culturel Mésopotamie par des loups gris, ces attaques n’ont pas été relayées.
Conseil de l’Europe attaqué aussi
Par ailleurs, les membres de l’organisation terroriste du PKK ont également attaqué, l’Agora, un bâtiment annexe du Conseil de l’Europe à Strasbourg.
Ainsi, trente à quarante kurdes, partisans du PKK, venus d’Allemagne ont réussi à pénétrer dans l’enceinte du bâtiment de l’Agora. Ils ont attaqué les policiers qui tentaient de protéger le bâtiment les obligeants même à utiliser du gaz lacrymogène.
Malgré la présence des forces de l’ordre, les manifestants ont lancé des bouteilles d’eau sur les policiers, criant des slogans en kurde réclamant la libération du leader du PKK. D’ailleursn en février 2019, une manifestation similaire avait déjà dégénéré à l’Agora, aboutissant à la condamnation de 17 participants.
Darmanin silencieux
Quand des organisations turques manifestent pacifiquement ou quand certains d’entre eux dégénèrent, le ministre de l’Iintérieur parle de tolérance zéro. Pourtant ce cas, alors que des policiers sont attaqués, alors que des vitres de magasins sont brisés, le silence complice de Darmanin se fait très sentir dans la communauté turque.
Les message qu’envoie le gouvernement est clair. « Vous pouvez attaquer des citoyens français d’origine turque, de toute façon on ne les aime pas ».
Face à cette injustice, malheureusement des jeunes tentent de faire justice eux mêmes. A ce moment, les médias se réveillent à nouveau et les criminalisent sans jamais se préoccuper des assaillants. Pour le moment, la préfecture de police du Bas-Rhin n’a annoncé aucune arrestation.