Site icon Medyaturk

Des candidats aux législatives soutiennent des terroristes!

De plus en plus de médias français jouent le rôle de dé-diaboliser le PKK! Ce groupe reconnu terroriste par l’UE, les USA et la Turquie a commis des milliers d’attentats en Turquie et plus de 40 000 civils et militaires ont perdus la vie.

La question kurde en Turquie est un débat qui ne finira jamais. Des tentatives de paix ont constamment échoué de fait d’interventions extérieurs et la volonté des dirigeants du PKK à ne pas perdre leur position de leader.

On reviendra plus en détails sur ce processus de paix mais la question aujourd’hui c’est que des candidats à la législature française n’hésitent pas à faire l’apologie du terrorisme bien que ça soit interdite.

Sous prétexte de lutte contre Daech, désormais un groupe qui a du sang dans les mains trouvent échos auprès de certaines élites françaises.

Nous nous souviendrons des reportages d’ARTE qui présentaient cette entité terroriste comme le seul espoir face à DAECH.

Il s’agit désormais des candidats aux législatives de continuer dans cette voix. C’est le cas de Zerrin Bataray, candidate du PCF dans l’Isère, éliminée dès le premier tour avec 3.38%.

Elle présente des femmes armées jusqu’au dent comme des combattantes de la liberté. Comme des ONG internationales le prouvent,ces groupes pratiquent la purification ethnique envers les arabes afin d’installer des pro PKK! 

Nous ne pouvons pas oublier non plus le discours de Jean Luc Melenchon qui soutient ouvertement ce groupe terroriste.

Avec cette véritable incitation à la violence armée le sénateur de l’Essonne mais candidat à la députation à Marseille, Jean Luc Mélenchon est pénalement responsable d’encourager un groupe terroriste à commettre plus de violence.

Loi de 10 mars 2004

Inciter à la haine et faire l’apologie du groupe terroriste en public En droit français, l’incitation à la haine par des propos ou des écrits tenus en public est une infraction pénale depuis 1972 La loi n°72-546 du 1er juillet 1972 modifiant la loi sur la liberté de la presse du 29 juillet 1881 « Constitue également un acte de terrorisme, lorsqu’il est intentionnellement en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur ».

Article 421 – 2 – 5 du code pénal :

« Le fait de provoquer directement à des actes de terrorisme ou de faire publiquement l’apologie de ces actes est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 € d’amende »

Il faut désormais exiger à ces partis de stopper immédiatement leur ingérence dans les affaires de la Turquie.

Fatih KARAKAYA

Merci à John pour son apport

Quitter la version mobile